La préhistoire

Le territoire de Trie-Château est riche en outils préhistoriques (pierres taillées) qui prouvent la présence de l’homme aux temps les plus reculés. Le dolmen et le menhir du bois de la Garenne datent du néolithique vers 4000 ans avant J.C.

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Le moyen-âge

Trie-Château était situé dans la civitas des Véliocasses (Rouen), l’une des trois principales tribus avec les Bellovaques (Beauvais) et les Silvanectes (Senlis) qui se partageaient le territoire de l’actuel département de l’Oise. C’était un relais sur la route qui reliait la capitale des Bellovaques à celle des Véliocasses. Une chaussée Brunehaut partait de Beauvais, en arrivant à Trie-Château elle traversait la Troësne au niveau du gué (rue de la gare actuelle) et se dirigeait en direction du hameau de Moiscourt sous le nom de « voirie de Saint-Front » pour rejoindre la voie romaine Jules César (de Paris à Rouen) à Petromantalum l’actuel Saint Clair-sur-Epte. La voie ferrée l’a recouvert ainsi que la petite chapelle consacrée à Saint-Front située à la hauteur de l’actuelle entrée des forges. On suppose que ce sanctuaire attaché au relais gallo-romain qui se développa grâce au passage de la chaussée Brunehaut à la période franque (VIIe et VIIIe siècles) fut à l’origine de Trie-Château, donc bien avant l’implantation d’une forteresse sur un point haut dominant le gué et contrôlant le passage lors de la constitution du duché de Normandie.

En 911, la fondation de ce duché normand par le traité de Saint Clair-sur-Epte, entre Charles III dit le simple roi de Francie occidentale et Rollon chef viking, eut pour effet de transformer la région de Trie-Château en zone frontalière et de scinder le Vexin en deux. Pour protéger le domaine royal contre les prétentions de Rollon et des ducs normands, ses successeurs, qui voulaient s’arroger le Vexin Français, les rois de France utilisèrent la butte de Chaumont pour construire une motte féodale qui se transforma en une grande forteresse, avec en avant-garde et en appui celle de Trie au sud du village de Trie-la-Ville. Avec la féodalité, les seigneurs du Vexin constituèrent une vraie ligne de défense en constituant d’autres points d’appuis tels que Courcelles, Saint Clair-sur-Epte et Sérifontaine entre-autre. Cet ensemble défensif et fortifié poussa Rollon et les différents ducs normands à construire, de l’autre côté de la vallée, des donjons sur les coteaux dominants l’Epte à Dangu, Gisors, château sur Epte, Neaufles et Baudémont.


En 1077, Simon comte de Crépy, de Vexin et d’Amiens, après trois années de guerre contre Philippe 1er, roi de France, décide de se retirer dans un monastère. La tradition dit que cette surprenante décision pour un jeune qui menait une vie très guerrière et dissipée lui vint après la vue du cadavre de son père lors de la mise au tombeau à Montdidier. Avec sa jeune épouse, il décide de changer de vie et de rentrer dans les ordres. Simon se retira dans le Jura où il créa une petite communauté qui devint Mouthe. Il fut chargé par le Pape de différentes actions diplomatiques et mourut à ses côtés à Rome et fut très vite béatifié. Il remet ses domaines à sa sœur Adélaïde comtesse de Vermandois dont la fille Alix épouse Hugues de France et fait ainsi entrer le Vexin Français dans le giron de la couronne de France.

A compter de cette date, les guerres furent incessantes entre Philippe 1er roi de France et de son très puissant vassal Guillaume le conquérant duc de Normandie, roi d’Angleterre (la bataille d’Hasting eut lieu en 1066). En 1087 Guillaume est mortellement blessé lors du sac de Mantes. Philippe 1er met en place un ensemble frontalier important couvrant les places de Pontoise, Mantes et Chaumont que les normands cherchent à conquérir. C’est à cette époque, fin du XIème siècle que l’on date la construction du château de Trie comme avant-garde à la forteresse de Chaumont qui n’a pas de regard direct sur Gisors. En face, Guillaume le roux, fils et successeur du conquérant, ordonne à Robert de Bellème de mener à bien la construction des châteaux de Gisors, Neaufles, Dangu et Neufmarché.

Le donjon de Trie-Château élevé sur une motte aujourd’hui disparue était ceint de cinq grosses tours (dont une existe toujours bien que remaniée) reliées par des courtines à mâchicoulis et d’une muraille de forme pentagonale. Le village, à l’extérieur du château, était protégé d’une seconde enceinte qui suivait le tracé de la Troësne et qui enserrait la basse-cour, donc la partie village. Elle était percée de deux porte ; La porte de Gisors qui subsiste et celle de Chaumont détruite en 1825. Du village, reste la partie romane de la nef de l’église et quelques portions du mur d’enceinte, l’auditoire de justice étant un peu plus tardif 1170-1190. Cet ensemble est significatif des villes nouvelles qui se créèrent partout en France à partir de cette époque où l’on retrouve les mêmes plans et dispositions, généralement auprès d’une rivière ou d’une voie importante telles que les villes neuves Villeneuve-sur-Yonne, absolument identique, Villeneuve-sur-Lot, et plus près de nous, Villeneuve-sur-Verberie).

Dès lors et jusqu’en 1204, date de la conquête de la Normandie par Philippe Auguste, Trie sera située aux confins d’une région de marche, c'est-à-dire en frontière (à la marche) du domaine royal. La marche est un district territorial jouant le rôle de zone de protection dans une région frontalière ou mal pacifiée.

A partir de 1150, suivant la formalité croissante du droit féodal, le roi de France exigea que les hommages rendus par ses vassaux aient lieux régulièrement à chaque mutation de fief ou en signe de réconciliation après chaque guerre. A ce titre, Trie fut témoin de treize entrevues et hommages avérés entre le roi de France et son vassal le duc de Normandie, roi d’Angleterre au champ de “ l’ormeteau ferré” entre Trie et Gisors situé plus précisément dans l’actuelle prairie au-dessus de la gare de Gisors. C’était, vraisemblablement un arbre multi-centenaire, bardé de fer par Henry II Plantagenêt qui lui vouait une grande considération, comme une réminiscence de l’Yggdrasil, l’arbre mythique de la religion de ses ancêtres Vikings. 

En fait, le roi de France recevait chez lui et donc à la limite de ses états et ne franchissait donc pas l’Epte, rivière frontière. En tant que duc donc vassal du roi, le roi d’Angleterre devait effectuer d’humiliant déplacements et hommages ce qui devint une source de difficultés avec le temps et la puissance croissante de l’Angleterre. Les rois de France résidaient dans le logis royal de la forteresse de Chaumont et passaient nécessairement par la seule voie existante qui traversait le village. Ainsi tous les rois entre l’an 1000 et 1200 traversèrent notre village.

Parmi ces différentes rencontres dont on a le souvenir écrit, trois furent éminemment importantes.

- Celle de 1173, avec le célèbre Pierre de Tarentaise qui vint comme légat du Pape à Chaumont et Gisors pour résoudre les différents incessants entre les rois de France et d’Angleterre. Pierre de Tarentaise, archevêque de Tarentaise (1102-1174) et diplomate itinérant auprès de la Papauté, fut un des piliers de l’ordre de Cîteaux, fondateur et premier abbé de Tamié près d’Annecy. Mais, malgré toute sa diplomatie et son autorité morale, sa mission difficile n’obtint pas les résultats escomptés.
Il laissa une forte empreinte de sainteté et mourut en 1174 sur le chemin de retour et fut canonisé dès mai 1191. En 1184, le moine Geoffroy de Hautecombe, écrivit la vie incroyable de ce saint évêque qui vint sur notre territoire et dit en particulier : 
“… Les rois, les princes, les peuples accouraient en grand nombre près des buttes de Chaumont, sur les confins de la France et de la Normandie, pour parler de paix et le recevoir ; et tous attendaient sa venue avec impatience. 
A son arrivée, le roi d’Angleterre vole plutôt qu’il ne court à sa rencontre et, du plus loin qu’il l’aperçoit, il descend de cheval en toute hâte, lui baise les pieds et ne voulant pas se contenter comme les autres d’une simple parcelle, prend son manteau que les fidèles, dans l’excès de leur dévotion, avaient mis en morceau…”
Geoffroy de Hautecombe relate entre autres de nombreux miracles faits devant les assemblées plénières des rois et des officiels, à Chaumont et Gisors. 

- Celle du 28 juin 1180, entre Philippe II pour sa première rencontre officielle en tant que roi de France et Henri II roi d’Angleterre et duc de Normandie. C’est un traité d’amitié, connu sous le vocable de “Traité de Gisors” que le jeune roi, âgé de seulement quinze ans, signe avec le vieil Henri II, 47 ans, le plus puissant roi de la chrétienté d’alors, sur le champ de l’Orme à Trie. Situation inouïe entre ces deux personnages aussi différents et cependant superbe traité dont on a encore le texte qui devait apporter quantité d’avantages aux populations. Mais Philippe qui voulait annexer Gisors, fut le premier a ne pas le respecter.

- Celle du 21 janvier 1188 où les deux protagonistes s’engagent pour la troisième croisade en Terre Sainte sous la pression des légats du pape Grégoire VIII.

Mais revenons un peu en arrière pour signaler qu’en 1174, un combat eut lieu entre les armées de Henry II et de Louis VII le jeune, dans la plaine qui sépare Courcelles de Gisors. Enguerrand de Trye fut fait prisonnier par Guillaume de Mandeville, qui brûla du même coup les villages de Trye et Chaumont.

En 1207, fondation de l’abbaye de Gomerfontaine.
Au cours de la guerre de cent ans, le château fut pris en 1419 par Henry V d’Angleterre qui y établit son quartier général lorsqu’il assiégea Gisors.

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La renaissance

Jacqueline d’Estouteville posséda la terre de Trie de 1489 à 1534. Un manuscrit conservé aux archives départementales de l’Oise mentionne qu’elle possédait « droit de Justice entre les quatre portes de Trie ».

Ce dessin est une partie du plan de la forêt de Thelle de 1541 aux archives départementales du Val d’Oise. 
Il provient des archives du château de la Roche-Guyon et ne comprend que la partie Trie/Gisors qui est parfaitement identique à l’original. A Trye-Château, on aperçoit le donjon qui n’a pas encore été détruit, l’église en cours d’agrandissement par l’incorporation du narthex à la nef ainsi que les portes dites de Gisors et de Chaumont.

Au centre du dessin le magnifique ormeteau ferré, témoin de tant de rencontres historiques.

Adrienne d’Estouteville, fille de Jacqueline et femme de François de Bourbon, comte de Saint-Pol, fit abattre les principaux ouvrages de défense de la forteresse de Trie pour la transformer en une résidence de villégiature. 
Elle mourut en 1560 à Trie dans ce château qu’elle aimait tant et fut enterrée dans la nécropole familiale de Valmont en pays de Caux.

Henri IV fut reçu au château par Marie de Bourbon, fille d’Adrienne d’Estouteville, mariée en 3éme noce à Léonor d’Orléans duc de Longueville le 5 avril 1592 puis en 1596 où le roi fit des parties de jeu de paume, jeu très en vogue à cette époque.
En 1572, naissance d'Antoinette d'Orléans-Longueville.

Le 13 janvier 1611, les Cordelières de Saint-François quittent le château de Sainte-Marguerite, remplacées par les Récollets qui s’établiront également à Chaumont-en-Vexin le 12 juillet 1637. Le 29 mars 1632, le père Joseph Le Caron, alors supérieur du couvent de Sainte-Marguerite, décède, victime d’une épidémie de peste.
Henri II de Longueville fit construire, de 1620 à 1640, le château neuf ; Sa femme, la célèbre Anne-Geneviève de Bourbon-Condé se plaisait beaucoup à Trie. Pendant les guerres de la Fronde, qu’elle anima beaucoup à partir de son château de Trye, elle y reçu son frère, le Grand Condé.

Lors de la Fronde, le 26 décembre 1649, Armand du Plessis, duc de Richelieu, pair de France, (petit neveu du cardinal) très épris de la veuve de François-Alexandre d’Albret, sire de Pons, Anne Poussart de Fors, l’enleva avec des complicités de la cour et vint l’épouser à Trie. Cette union clandestine organisée par le prince de Conti et le duc de Longueville afin de saisir de la place du Havre tenue alors par Mme l’Aiguillon tutrice de son neveu, le duc de Richelieu, ne fut pas neutre dans les arrestations qui suivirent des princes de Condé, de Conti et du duc de Longueville.

Marie de Lancry de Verpillère établi un contrat pour l’instruction des filles le 12 novembre 1683.
Le 26 octobre 1742, naissance de Charles-François Dupuis.
Louis III François de Bourbon, prince de Conti, offrit de juin 1767 à juin 1768, l’hospitalité à Jean-Jacques Rousseau décrété de prise de corps après la parution du Contrat social et de La profession de foi du vicaire savoyard. Il vient ici sous le nom de Renou et c’est dans la chambre au dernier étage de la tour qu’il termina le livre VI Des confessions.

A la fin du XVIIIème siècle, Trie possédait un établissement thermal avec des eaux aux multiples vertus provenant des fontaines dites de Bourbon et Conti. L’analyse de ces eaux fut faite en 1779 par M. de Fourcy, ancien apothicaire des armées du roi. Le 12 octobre 1778, le prince de Conti avait fait une donation de ces sources à Nicolas Pellevillain, contrôleur des fermes royales qui les exploita jusqu’à la révolution. (Trie-Château, ville d'eaux)
En 1783, l’école des filles était installée dans les dépendances du château.

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La révolution

-1790, les 72 paroisses qui faisaient partie du baillage de Chaumont furent intégrées dans la circonscription du département de l’Oise. Elles le furent aussi dans celle du district de Chaumont divisées en cinq cantons dont les chefs-lieux étaient : Chaumont, Trye, Montjavoult, La Ville-Tertre et Fresneaux-Montchevreuil. Les communes qui faisaient partie du canton de Trye étaient : Enencourt-Léage, Boutencourt, Eragny, Chambors, Delincourt et Courcelles. Trye-la-Ville n’étaient pas une commune, mais un hameau rattaché à la municipalité de Trie alors même que la naissance de cette paroisse est considérée comme contemporaine de celle de Trye-Château. 
-Les 20 et 21 mai 1790 a lieu l’inventaire de l’abbaye de Gomerfontaine.
Pendant la révolution, le château de Sainte-Marguerite est renommé Bois-joli et fut successivement habité par M. Musset, membre de la Convention, député au corps législatif, puis par le général de division, baron Joseph Morand. 
-31 août et 5 septembre 1792, perquisitions au château par toutes les municipalités et 800 hommes de la Garde Nationale. Les scellés y sont apposés
-24 septembre 1792, notification est faite à madame de Sarcus, trente-troisième et dernière abbesse de Gomerfontaire, de l’arrêté d’expulsion des religieuses qui prend effet le 1er octobre.
-1er octobre 1792, fermeture du couvent de Sainte-Marguerite.
-4 novembre, les registres de baptêmes, mariages et sépultures qui commencent en 1591 sont transférés de l’église à la mairie.
-1793, le château devient propriété nationale. Le 28 avril, la municipalité demande l’autorisation de le démolir.
-15 mai, fermeture des églises et chapelles de la commune des deux Trie (Trie-la-Ville et l’abbaye de Gomerfontaine faisaient alors partie de Trie).
-22 septembre, création d’un marché se tenant tous les mercredis et de deux foires ; L’une le premier mercredi de mars et l’autre le premier mercredi de septembre.
-18 novembre, Trie s’appelle désormais Trie-sur-Troësne.
-31 décembre, destruction des archives se trouvant au château ; Grande fête dans toute la commune.
-10 mars 1794, on plante un arbre de liberté avec un grand cérémonial. Il sera abattu en 2011 par le propriétaire de la parcelle afin d’effectuer des travaux.
-4 août, on retire toutes les armoiries qui existent encore à Trie.
-1796, le château fut vendu à M. Delpont qui en fit commencer la démolition en 1797.

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L’époque contemporaine

-16 août 1820, le recensement nominal de la population indique 1088 habitants répartis ainsi: 234 garçons, 281 filles, 264 hommes mariés, 241 femmes mariées, 15 veufs, 49 veuves et 4 militaires aux armées. 
-1822, fondation de la compagnie de pompiers équipée de deux pompes à incendie. 
-26 avril 1835, une ordonnance de Louis-Philippe, roi des Français, redonnera son indépendance à Trie-la-Ville.
-1836, inauguration du nouveau cimetière commun à Trie-sur Troësne et Trie-la-Ville. Le colonel Crétin y fut inhumé un des premiers aux frais des habitants. Il fut nommé général par Napoléon 1er à Waterloo et fut maire de Trie-sur-Troësne de 1820 à 1829.

En 1856, Gédéon Dubreuil écrivait : « De tout temps Trye-Château a été le Longchamp de Gisors ; et le jour de sa fête, la Madeleine, sur tout son parcours la route est encombrée de véhicule et de promeneurs. Jadis nos pères s’y embarquaient gaiment et pédestrement vers les deux ou trois heures d’après-midi. Arrivés à Trye, ils allaient, comme en pèlerinage, chez Gadet Michaud, et là, tous attablés de joyeuse compagnie, ils savouraient la fine gibelotte, la tarte frangipane, et se délectaient de clairet vermeil, en entremêlant chaque gorgeon de couplets émoustillants ; puis entendait-on le signal des ménestriers? Tout aussitôt chacun faisait cercle autour d’eux, et regardait exécuter la première contredanse, qui toujours était dansée par la haute société des environs. Ensuite tous les rangs se confondaient, s’éparpillaient, s’amusaient chacun à sa guise. »
Trie Château à deux gares. La station du chemin de fer de l’ouest date de 1872 et la gare de Beauvais de 1875.

-Le 2 mai 1904, naissance de Camille Renault.
-30 juillet 1911, inauguration de la sculpture qui représente « Jean-Jacques Rousseau écrivant sous l’inspiration de la Vérité et de la nature » réalisée par H. Greber sculpteur de Beauvais. 
-1936, découverte des célèbres linteaux de Trie exposés au Victoria and Albert Muséum de Londres lors de la démolition de la maison devant l’église. (Annexe2)
-Juin 1943, le réseau de résistants Darling est démantelé par la gestapo. (Annexe 3)
-14 août 1944 fusillade des Kroumirs. (Annexe 4)
-Le 11 novembre 1948, la Croix de Guerre avec l’Etoile de Bronze est décernée à la commune de Trie-Château par le secrétaire d’état aux forces armées Max Lejeune dont la citation est “A lutté contre l’occupant avec énergie et courage. Son activité résistante et l’aide apportée au maquis lui ont valu les horreurs des représailles allemandes. A donné un bel exemple de sang-froid et de patriotisme.”
Au mois de décembre 1952, la commune achète le château.


L’Histoire continue…
Le canton de Chaumont en Vexin - 2004. Editions Delattre
Pages Héraldiques Hors série n° 9 - 2012. Association Héraldique et Généalogique Des Deux Vexins
Petromantalum, Saint Clair et le Vexin. Michel Roblin
Bulletin n°9 - 1980. G.E.M.O.B.
Journal des associations de Trie-Château. Monique Brennemann
Notice historique sur Trie-Château. Alfred Fitan
Gisors et ses environs - 1856. Gédéon Dubreuil
Mémoires de Nicolas Goulas - 1882. Gallica (bnf)